Nous vous présentons le test du joystick Thrustmaster T.Flight Hotas 4 livré en pack avec le free to play War Thunder. Aperçu !

 

Thrustmaster régale cette année dans le domaine des accessoires gaming. Nous vous avions présenté le test du casque Thrustmaster Y-300CPX, un « headset » validé par Komestai puis nous avions expérimenté le volant Thrutmaster T150 Force Feedback, en ont résulté de bonnes sensations. Aujourd’hui, nous nous sommes lancés dans une expérience de haute voltige avec le T.Flight Hotas 4 de Thrustmaster, un joystick officiel pour la PlayStation 4 mais également compatible sur PC. Nul besoin de chercher un jeu compatible avec l’accessoire puisqu’il est mis en vente avec le free to play War Thunder pour 79€99.

Nous ne sommes pas vraiment spécialistes du genre mais une fois lancée, on peut vous garantir qu’il y a beaucoup à dire au niveau des sensations et de la prise en main du T.Flight Hotas (Hands On Throttle And Stick) 4 de Thrustmaster.

Un joystick séduisant sur le papier…

Thrustmaster vous invite à découvrir les joies du pilotage aérien avec le T.Flight Hotas 4, en intégrant le free to play War Thunder dans son pack. Afin de faciliter votre accès au jeu, le bundle contient l’avion XP-38G Lightning, 500 Golden Eagles (monnaie du jeu) et un compte Premium pendant une semaine. Néanmoins, si vous n’êtes pas fans de ce MMO, vous pourrez toujours l’utiliser avec d’autres productions. On se met même à attendre avec impatience la technologie de la réalité virtuelle dont la liste des jeux VR a déjà indiqué que War Thunder serait de la partie mais surtout Ace Combat 7 qui  est prévu sur PlayStation 4 et PlayStation VR. Alors imaginez le combo réalité virtuelle x Joystick, cela risque d’être simplement démentiel.

Quant au joystick en lui-même, il n’a rien oublié dans ses fonctionnalités. Il comporte une gâchette de tir rapide, 12 boutons d’action, 5 axes et un chapeau chinois multidirectionnel que Thrustmaster a l’habitude de proposer. Les joueurs PlayStation 4 seront heureux de retrouver les boutons officiels d’une manette made in Sony.

Sinon, au niveau du design, il se démarque par sa sobriété. A vrai dire, il plait vraiment, les couleurs sont bien agencés et, une nouvelle fois, concordent avec le style de la PlayStation 4. Honnêtement, il demeure plutôt plaisant à regarder.

Très vite, on prend ses marques et on décide de se lancer afin de vous relater la prise en main et les sensations acquises.

En plein vol avec le joystick

 

C’est avec une certaine appréhension que nous avons entamé nos premiers vols dans la peau du pilote, il faut dire que le nouveau matériel demande généralement un temps d’adaptation conséquent. A vrai dire, cela a été assez rapide avec le T.Flight Hotas 4. L’étape la plus compliquée concernait principalement la coordination entre le pilotage et le tir. Maîtriser l’engin n’est pas difficile, se servir de la manette de tir non plus, mais enchaîner mouvement et tirs l’est un peu plus.

De plus, ce que nous avons vite remarqué, c’est que la prise en main est facilitée par le bon agencement des touches. Cela faisait partie aussi de notre appréhension, ne pas pouvoir s’en sortir avec les commandes. Double bonne nouvelle, on s’en sort plutôt bien et même plutôt rapidement. On peut ajuster la sensibilité du joystick de tirs, idéal pour déterminer la résistance selon nos envies, et adapter le gameplay selon notre expérience.

Tout a été pensé pour que vous délaissiez votre manette au profil du joystick, un accessoire qui donne beaucoup plus de plaisir au joueur quand il est amené à piloter les avions de guerre. Les mouvements sont faciles à coordonner, favorisent évidemment votre immersion dans le jeu et donnent même envie d’enchaîner les parties afin de parfaire votre score et surtout votre style de pilotage.

Au niveau de la précision des tirs, nous ne pouvons pas dire que nous exprimions toute notre efficacité. Si nous voulons être honnêtes, nous pourrions avouer que c’est dû à notre manque d’expérience en la matière plutôt qu’à un problème technique du T.Flight Hotas 4. Peut-être qu’avec des dizaines d’heures supplémentaires, nous serions embauchés dans le prochain film Top Gun mais d’ici là, on s’entraînera intensivement.